Final Fantasy VII a mis le genre du jeu de rôle japonais sur la carte en Occident lors de sa sortie en 1997. Pressé sur trois disques à l’époque, le jeu a été développé pour montrer les capacités graphiques de la PS1. Il a connu un succès critique et commercial sans précédent.

Au fil des années, l’histoire captivante du mercenaire Cloud Strife et de son ennemi juré Sephiroth a connu une multitude de suites. Un remake du jeu original a été évoqué pour la première fois en 2006, mais il faudra finalement attendre 2020 pour que le jeu voie le jour.

Le terme « remake » est peut-être un peu trompeur. Le scénario de Final Fantasy VII Remake suit largement celui de l’original, mais les événements se limitent aux aventures dans la métropole de Midgar. Les cinq premières heures de l’histoire originale sont étendues avec des scènes et des personnages supplémentaires pour former une expérience de jeu à part entière qui vous prendra plus de 30 heures à compléter.

Le gameplay a été adapté aux normes modernes mais conserve l’esprit de l’original. Vous contrôlez l’un des trois personnages lors des combats contre les forces de la mégacorporation maléfique Shinra, qui draine littéralement la planète pour son propre profit. Après avoir affaibli suffisamment d’adversaires, vous pouvez mettre le jeu en pause pour lancer des attaques magiques ou d’autres attaques spéciales. C’est particulièrement important lors des impressionnants combats de boss, qui nécessitent une stratégie spécifique pour les vaincre.

En plus du jeu de base, la version PS5 comprend également deux chapitres supplémentaires mettant en scène Yuffie KIsaragi, un personnage que vous ne rencontrerez que bien plus tard dans l’histoire originale. L’Épisode Intermission est bon pour cinq heures supplémentaires de jeu.

PEGI 16

Les batailles dans Final Fantasy VII Remake impliquent une violence réaliste contre des ennemis humains. Les joueurs de jeux vidéo affronteront des ennemis avec des épées, des mitrailleuses et des lances et certains adversaires poussent des cris de douleur lorsqu’ils meurent. De plus, Midgar est une métropole sombre où la vie est dure. Wall Market fait régulièrement allusion à la prostitution et il y a des jeux d’hasard et de l’alcool.